Le grimoire d'Oragie

"Tout être vivant est condamné à disparaître. Condamné à mort des sa naissance, il n'existe qu'en attente de sa fin.. Je sens que la mienne arrive. Ici se termine mon parcours, j'ai assez vecu, et il est temps de laisser ma place aux generations futurs. Je ne fus pas assez grande pour atteindre l'imortalité dans le souvenir, ce dernier s'effacera en même temps que ceux qui m'ont connus... Je meurs..."

Quelques pages blanches encore puis la couverture. Le resumé d'une vie en pres de trois cents pages... Je tiens dans mes mains l'existence d'un de mes ancetres. Pres d'un demi millenaire d'histoire s'est écoulé depuis sa disparition. Elle fût de la premiere generation de cet organisation de malfrat qui sevit encore de nos jours et que l'on appel le Milk Bar... Un ramassis de pourris, d'assassins, de truand... Quelques unes de pires ordures qu'Amakna ai connu. Trois cents pages de son existences son mes yeux...
Le parchemin est quelque peu abimé, et la couverture en cuir rongée par le temps. Tout n'est pas lisible, mais je crois pouvoir en tiré quelques bribes. Voici une reconstitution desordonné de la vie de celle qui se fît connaitre sous le nom d'Oragie




Ce matin ma mere m'emmene au temple. Je n'y ai encore jamais mis les pieds et je ne sais ce que l'on y fait. Mes excursions exterieures se limitent à quelques promenades en fôret lors de la saison des champignons, ou lorsque mon pere m'emmenait chassé. Il est mort il y a presques deux ans, sa derniere rencontre avec un meulou ne s'étant pas passé comme il l'avait prevu. Il avait prété allegence au dieu Iop... Il aurait préféré que je sois un mâle, les mâles font parait il de meilleur guerriers... Manque de chance son unique enfant fût une femelle, moi!
Ma mere m'a dit qu'il était temps pour moi de choisir à quel dieu j'allais confier ma destiné. C'est pour ça qu'elle m'emmene au temple. Je dois choisir... Je crois que mon geniteur serait fier de moi si il apprenait que je m'apprete en ce moment à endosser l'uniforme des disciple du dieu Iop le Tout Puissant

J'editerais au fur et à mesur